samedi 20 mai 2006
Ouh la la ! Dur, dur ce matin !!
Réveil à 5h00 pour partir vers Cabanaconde.
On a « arrosé » l’anniversaire de Jo à l‘hôtel.
Personnellement, ça va à peu près, car je ne prend pas d’alcool, et que je me suis couché à 1h00, mais les garçons sont partis faire un tour en ville et sont rentrés à 3h30 !
A peine monté dans le bus, on fait tous un gros « ron-ron » !
Le trajet est hyper chaotique, mais ça ne nous réveille pas pour autant ! Quand la fatigue est là !!
Donc, on ne voit pas grand-chose du paysage, et on arrive à midi dans le cul de sac de la vallée de Colca : Cabanaconde.
De là, la fatigue mettant les nerfs à fleur de peau, et le manque d’énergie se faisant grandissant, nous avons du mal à nous décider sur la suite du programme.
Finalement, on fera au plus court. Un descente de 3h00 dans le canyon (au lieu de 7h00 par un autre chemin !)
A-t-on bien fait ?
C’est pas très cool pour Vincent, qui aurait certainement voulu voir des cascades et geysers, mais 7h00 de marche !…
Après un déjeuner rapide, nous voici sur la route de Sangalle, étape au fond du Canyon, sur le bord du rio Colca (1500 m. de dénivelé).
On a mis 3h00 à descendre, c’était horrible !
On n’arrêtait pas de glisser sur les gravillons. J’avais les cuisses en compote !
Les garçons avaient leur sac, et moi j’avais Cycy dans le dos.
Malgré le fait que l’on appuyait bien nos pas, on s’est tous ramassés deux ou trois fois sur les fesses. On n’a aucune photo pour « Vidéo Gag » !
Vers 17h00, nous atteignons enfin l’oasis tant convoitée. C’est un délice !
L’auberge qui nous accueille dans ses bungalows en bambou s’appelle « el Paraiso », et c’est vrai que c’est un petit paradis !
Hélas, il est trop tard pour profiter du décor, car la nuit tombe…
Les garçons et Eva piquent tout de même une tête dans la piscine semi-naturelle avant le dîner.
Il y a un micro climat à cet endroit de la vallée. Ca nous permet de dîner en t-shirt.
Normalement, on ne devrait pas avoir froid cette nuit nous assure-t-on !
J’éspère, car y’a des courants d’air dans la hutte, et seulement 2 couvertures sur chaque paillasse !
Ce soir, au menu du dîner aux chandelles (eh oui, y‘a pas d‘électricité là non plus !) : soupe de légumes, et spaghettis napolitaine avec un maté de coca.
A la bougie, on se met en pyjama, on repère les toilettes (qui sont dans « une cabane au fond du jardin » comme le chante Cabrel !), et on se glisse sous les draps.
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