vendredi 17 Mars Lima

Après avoir passé une journée tranquille à nous reposer dans la maison de nos hôtes, aujourd’hui, nous allons faire plus ample connaissance avec une partie de la famille.

(l'écriture en italique c'est Xavier, désolé pour les premieres photos car il n'y en a pas beaucoup de Christelle, j'ferais un effort ... )

Nous allons déjeuner avec Emilio (l’oncle de Xavier) et sa seconde femme Emma ainsi qu’avec Armando (le frère de sa grand-mère) que nous ne connaissons pas encore.

Emilio passe nous prendre, et c’est avec beaucoup d ‘émotions que nous faisons connaissance avec le seul ascendant vivant de la branche Ramirez.
Nous longeons le pacifique (très agité !) pour aller déjeuner à Agua Dulce, le port de pêche du quarter de Chorillos.

Xav : La les zicos, à la demande d'Emilio nous jouent des valses péruviennes à deux guitares et un cajon !! Terrible

Un endroit très « rustique » et sympathique comme Xavier et moi les aimons. Ca nous change de « Largo Mar » (je crois que ça s’appelle comme ça !), le quartier « branché » où tous les jeunes bourgeois liméniens viennent passer leurs fin de semaine ; un complexe moderne accroché au rocher surplombant la baie où l’on trouve restos, bars, discothèques à la mode et boutiques dernières tendances.

Xav : Ouais, tout ce qu'on n'aime pas !!!

mais bon ... c'est comme ça chez nous !!!

on le fuit déjà à la maison

on n'a pas vraiment envie de revoir ça ici !!

Nous avons donc passé l’après midi à nous prélasser sous un parasol et à déguster du « ceviche » (recette typique à base de poissons crus marinés dans du citron) avec de la bière brune et blonde.

Xav : une dizaine de bouteille à 3 !!

on reconnait les Montero Ramirez, j'me dis que meme à 80 berges ....

En fin d’après midi, nous avons fait un petit tour parmi les marchands de poissons.

Sur la plage du port, une colonie de pélicans attendaient les restes de la mer…

Cybellia a bien apprécié le spectacle !

Bordant le littoral, Lima et très souvent comme Londres, dans la brume ! C’est très étonnant, car d’un quartier à l’autre, on passe du soleil (dans le centre) au brouillard (dans Miraflores).